#AprèsLesViolences
#AprèsLesViolences
Elles sont revenues sur le moment où tout a basculé, sur la fois de trop qui les a poussé à quitter leur conjoint devenu violent pour elles comme pour leurs enfants. La fois où elles ont pu dire stop, le déclic. Certaines sont complètement sorties des violences, souvent après des années d’emprise et de calvaire, échappant parfois de peu au pire … Beaucoup d’entre elles sont encore sous une pression judiciaire sans fin et à leur frais, sous les menaces ou les procédures engagées par l’homme violent, incarcéré ou pas.
Ce sont des rescapées, des survivantes, des héroïnes !
Mais parce qu’elles ne peuvent pas toutes témoigner publiquement des #ViolencesConjugales, des personnalités publiques viennent en renfort. Femmes et hommes posent par solidarité en portant le message d’une victime qui préfère rester anonyme.
Enfin pour celles disparues, un ou des membres de la famille porteront leur douloureux témoignage.
Pour soutenir #AprèsLesViolences et une association de votre choix : https://bit.ly/4837tEL
Nous demandons :
- le retrait ou la suspension de la garde et de l'exercice de l'autorité parentale du parent violent
- une prise en charge psychologique systématique des enfants victimes
- que l'ASE ne sépare plus les enfants victimes de violences conjugales de leur parent protecteur
- que les orphelins de féminicides ne soient plus séparés, qu'ils aient systématiquement un ad'hoc, un avocat gratuit pour chaque enfant, qu'ils soient prioritaires dans l'accès des soins psycho-traumatiques, à vie. Que leurs frais de scolarité soient intégralement pris en charge par l'état
- l'interdiction pure et simple de la notion de syndrome d'aliénation parentale et ses dérivés
-une ordonnance de protection spécifique aux enfants, indépendamment de la mère
En France une femme sur dix, sans distinction sociale, ethnique, culturelle ou d’âge est victime de violences conjugales.
Un grand MERCI à à toutes celles et ceux qui ont posé pour moi.
Un grand MERCI à mes partenaires et à toutes celles et ceux qui soutiennent mon action.
Elles sont revenues sur le moment où tout a basculé, sur la fois de trop qui les a poussé à quitter leur conjoint devenu violent pour elles comme pour leurs enfants. La fois où elles ont pu dire stop, le déclic. Certaines sont complètement sorties des violences, souvent après des années d’emprise et de calvaire, échappant parfois de peu au pire … Beaucoup d’entre elles sont encore sous une pression judiciaire sans fin et à leur frais, sous les menaces ou les procédures engagées par l’homme violent, incarcéré ou pas.
Ce sont des rescapées, des survivantes, des héroïnes !
Mais parce qu’elles ne peuvent pas toutes témoigner publiquement des #ViolencesConjugales, des personnalités publiques viennent en renfort. Femmes et hommes posent par solidarité en portant le message d’une victime qui préfère rester anonyme.
Enfin pour celles disparues, un ou des membres de la famille porteront leur douloureux témoignage.
Pour soutenir #AprèsLesViolences et une association de votre choix : https://bit.ly/4837tEL
Nous demandons :
- le retrait ou la suspension de la garde et de l'exercice de l'autorité parentale du parent violent
- une prise en charge psychologique systématique des enfants victimes
- que l'ASE ne sépare plus les enfants victimes de violences conjugales de leur parent protecteur
- que les orphelins de féminicides ne soient plus séparés, qu'ils aient systématiquement un ad'hoc, un avocat gratuit pour chaque enfant, qu'ils soient prioritaires dans l'accès des soins psycho-traumatiques, à vie. Que leurs frais de scolarité soient intégralement pris en charge par l'état
- l'interdiction pure et simple de la notion de syndrome d'aliénation parentale et ses dérivés
-une ordonnance de protection spécifique aux enfants, indépendamment de la mère
En France une femme sur dix, sans distinction sociale, ethnique, culturelle ou d’âge est victime de violences conjugales.
Un grand MERCI à à toutes celles et ceux qui ont posé pour moi.
Un grand MERCI à mes partenaires et à toutes celles et ceux qui soutiennent mon action.